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CAN U23 : un arbitrage scandaleux aide le Maroc à renverser la Guinée

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La Guinée s’incline d’entrée devant le Maroc (2-1), ce samedi, en ouverture de la Coupe d’Afrique U23. Pourtant, c’est le Syli qui domine la première mi-temps grâce à Algassimou Bah dans les ultimes secondes de la pause (0-1). Au retour des vestiaires, les hommes de Morlaye Cissé ont montré une copie bien au dessous de la performance à l’entame de cette rencontre : baisse en régime, perte de balles, moins d’impact dans les duels. Les Guinéens vont courber l’échine coup pour coup sur penaltys.

Abde Ez obtient le penalty avant de le transformer pour l’égalisation (1-1, 63e). Il récidivera à nouveau sur penalty dans les ultimes secondes du temps réglementaire pour offrir la victoire aux Marocains (2-1, 90e+6). La Guinée égalisera mais l’arbitre à travers la VAR annulera le but. Cette défaite du Syli démontre à suffisance que le manque de concentration en fin de match est l’éternel souci du football guinéen.

Omar Artan, le sifflet scandaleux

La commission d’arbitrage de la confédération africaine de football (CAF)qui a choisi Omar Artan, le somalien, comme arbitral central de ce match doit vraiment se remettre en cause. En attendant les rapports de cet arbitre, la CAF doit dès à présent considérer que c’est le pire arbitrage d’une compétition continentale ces dernières années tant la médiocrité d’Omar Artan était flagrante.

Omar Artan, qui a du mal à interpréter les images de la VAR, a volontairement fait des faveurs aux Marocains pour décrocher cette honteuse victoire qui ne fait pas honneur à l’Afrique, si jamais elle venait à se faire représenter par le Maroc. Deux penaltys injustifiés et des jugements sur des faits de jeu à casser le rythme du Syli au profit de son adversaire.

C’est triste pour le football africain. Peu importe, le Maroc  remercie vivement le ciel d’avoir un arbitrage complètement acquis à sa cause dans ce match qui était perdu d’avance. Selon nos informations la Guinée va porter réserver même si elle est convaincue que sa plainte n’aboutira à rien.

Ibrahima DIALLO

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