L’instance dirigeante de la confédération africaine de football (CAF) est tombée tout bas. Une nomination a fait polémique dans la zone centre à l’issue de l’assemblée générale tenue, vendredi, à Casablanca.
Dans la foulée du renouvellement partiel des membres de son comité exécutif, la CAF a accepté la nomination de Patrice Edouard Ngaissona, président de la Fédération centrafricaine et par ailleurs chef de la coordination anti-bakala, un groupe armé soupçonné de graves exactions durant la guerre civile qui a déchiré le pays entre 2013 et 2015.
Ngaissona a battu le Gabonais Pierre Alain Mounguengui avec 30 voix contre 23.
Avec Afrik-foot