A la UneFoot local

Ligue 1 Guicopres : des substances dopantes circulent dans les vestiaires (Alerte)

217

(ConakrySports) Alerte ! Nos footballeurs du championnat d’élite se dopent. C’est un fait. Quelle est la proportion du phénomène ? C’est ce qui doit interpeller désormais les dirigeants qui semblent être inactifs dans le strict  minimum du contrôle.

Pourtant dans le code mondial de l’agence antidopage (AMA) ila Fifa interdit une liste de produits aux  sportifs en activité. Cette liste a été approuvée le 23 septembre 2022 par le comité exécutif de l’AMA. Et la mesure est entrée en vigueur le  1er janvier 2023.

Elle répertorie les substances et méthodes prohibées, en compétition comme en dehors, et précise les interdictions touchant uniquement certains sports.

ConakrySports a alerté sur l’existence de ces certains produits dopants dans nos championnats, il y a deux ans. En vain. On en parle encore .

Nous réitérons encore qu’en Guinée des substances familières à des stéroïdes, au cocaïne ou encore d’amphétamines, circulent dans les vestiaires  Des substances nommées « Pablo »,   » Velo », King…. généralement en provenance de l’Italie sont en quelque sorte des sucettes très prisés par nos sportifs.

Ces substances dopantes circulent dans les vestiaires de certains  clubs qui offrent les plus gros salaires dans ce championnat. Pablo, considéré comme le top des tops de ces substances dopantes nous confie  un joueur dans l’anonymat.  » Il coûte 250 mille Francs guinéens« ,, précise-t-il. On peut donc retenir  qu’un joueur issu d’un club moins côté financièrement ne peut pas se le permettre à moins qu’il ne soit un accro.ß

Il n’y a aucun chiffre pour déterminer le nombre de footballeur qui s’adonnent à cette pratique. Il revient aux décideurs de s’en occuper s’il y a une intention d’arrêter le phénomène parce que nos footballeurs deviennent de plus en plus accros à ces substances pour améliorer leurs performances lors des entraînements et lors des matchs.

En tout cas il temps d’imposer les contrôles antidopages dans ce milieu pour ne pas encourager cette pratique.

 

Laisser un commentaire