Moysekou Camara, porteur du projet Sindio Sport. Ce jeune guinéen resident en Belgique, qui a habillé le Syli A’ et autres clubs en Afrique, fait auhourd’hui la promotiin de son ballon et des moindres.
» Cette semaine, j’ai eu l’honneur d’être reçu par l’équipe des Sciences Appliquées de l’Université de Louvain (Advanced Engineering), ainsi que par d’autres scientifiques et entreprises d’innovation technologique, établis en Belgique, en Europe ou ailleurs.
Bien que modeste, je suis fier d’avoir pu discuter avec ces experts passionnés. Parmi les sujets abordés, l’idée d’un ballon de football connecté a été soulevée par l’entreprise belge Sindio Sport qui s’y intéresse depuis longtemps. C’est une idée fascinante qui ouvre la voie à de nouvelles perspectives passionnantes dans les domaines du sport et de la technologie.
Avec une détermination inébranlable, Sindio repousse constamment les limites de l’excellence, démontrant ainsi son engagement total envers le progrès. Elle prouve que l’audace et la vision sont les clés de la réussite durable.
Son ballon Komaya 2.0 de qualité FIFA Pro n’est pas seulement un ballon de football ordinaire, c’est un véritable atout pour les amateurs de ce sport passionnant. Ses caractéristiques exceptionnelles le distinguent facilement des autres ballons sur le marché, captivant l’attention de tous les passionnés.
Mais ce n’est pas tout ! Imaginez les possibilités infinies qu’offrirait un ballon connecté, doté d’options de traçabilité et de performance améliorées. Cela représenterait un véritable tremplin pour la progression des sportifs, leur permettant d’atteindre de nouveaux sommets et de repousser leurs limites.
Avec le Komaya 2.0 connecté, vous aurez accès à des données précieuses sur votre jeu, vous aidant à identifier vos forces et vos faiblesses, et à ajuster votre entraînement en conséquence. Ne laissez pas passer cette opportunité révolutionnaire de vous démarquer sur le terrain !
Nul doute que Sindio continuera à façonner l’avenir grâce à son esprit novateur et sa volonté de toujours aller de l’avant. »
Propos recueillis par Yvon LEROUX