La coupe d’Afrique des nations prévue en Cote d’Ivoire en 2024 se fera avec la Guinée logée dans le groupe C avec le Sénégal, le Cameroun et la Gambie. Avant cette compétition, le Syli est secoué par des réalités
Tohu-bohu autour de l’AG de la Feguifoot
Désormais, une seule condition s’impose à la Guinée pour garder sa place à la CAN 2023. Dans une crise animée par les égos des acteurs du football, la Guinée doit rapidement mettre en place un comité exécutif qui sera conduit par un président issu d’un consensus appuyé, aujourd’hui, par l’Etat. On a tous intérêt a mettre de l’eau dans nos gingimbres.
Les arriérés de primes
Pourvu que ce soit de moindre envergure… Pour l’heure, on gère en secret. Les joueurs du Syli n’ont pas perçus les primes de match lors des rencontres avec l’Ouganda et le Botswana comptant respectivement pour la première et deuxième journée des éliminatoires du Mondial 2026. Il est important de désamorcer la tension à temps avant cette compétition.
Le Syli en doute
Il est en manque de confiance. Après deux ans de gestion, Kaba Diawara peine toujours à convaincre. Sa limite angoisse de plus en plus et au bout de chaque prestation. Même une victoire ne peut dissiper les craintes. Il y a tout à faire pour remettre la tête au bon endroit avant cette compétition
Un planning de stage à valider
Il y a un mois que Kaba Diawara a déposé son planning pour la préparation de la CAN 22023. Si du temps du CONOR toutes ses propositions passaient positivement comme une lettre à la poste, le sélectionneur devra attendra que le nouveau président de la fédération valide son planning le quel prévoit un stage à l’étranger après la remise du drapeau à Conakry.
Yvon LEROUX