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« Pablo », « Velo », « King… » … les substances dopantes qui circulent dans les vestiaires de la Ligue 1 Guicopres

Officiellement, le Hafia FC a effectué sa première séance d'entrainement sur la pélouse de son stade qui porte le nom de Petit Sory,, ancien joueur amblematique du club des années 72.
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Alerte ! Nos footballeurs du championnat d’élite se dopent. C’est un fait. Quelle est la proportion du phénomène ? C’est ce qui doit interpeller désormais les dirigeants qui semblent être inactifs dans le stric minimum du contrôle .

Pouftant dans le code mondial de l’agence anti dopage (AMA) ila Fifa nterdit une liste de produits aux  sportifs en activité. Cette liste a été approuvée le 23 septembre 2022 par le comité exécutif de l’AMA. Et la mesure est entrée en vigueur le  1er janvier 2023.

Elle répertorie les substances et méthodes prohibées, en compétition comme en dehors, et précise les interdictions touchant uniquement certains sport. En Guinée circule des substances familières à des stéroïdes, au cocaïne ou encore d’amphétamines.  Des subtances nommées « Pablo »,   » Velo », King…. généralement en provenance de l’Italie sont en quelque sorte des sucettes très prisés par nos sportifs.

Ces substances  circulent dans les vestiaires de certains  clubs qui offrent les plus gros salaires dans ce championnat. Pablo, considéré comme le top des tops de ces substances dopantes par un joueur qui nous parle sous l’anonymat, coûte 250 mille Francs guinéens. Il est donc aisé de comprendre qu’un joueur issu d’un club moins côté financièrement ne peut pas se le permettre à moins qu’il ne soit un accros.

Il n’y a aucun chiffre pour déterminer le nombre de footballeur qui s’adonnent à cette pratique. Il revient aux décideurs de s’en occuper s’il y a une intention d’arrêter le phénomène parce que nos footballeurs deviennent de plus en plus accros à ces substances pour améliorer leurs performances lors des entraînements et lors des matchs.

En tout cas il temps d’imposer les contrôles antidopages dans ce milieu pour ne pas encourager cette pratique.

Yvon LEROUX 

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